La Haute autorité de santé (HAS) ouvre la voie à un test salivaire dans le dépistage de l’endométriose. Baptisé Endotest, il fait l’object d’une autosaisie de l’HAS pour évaluer son efficacité et son utilité clinique. L’objectif est de réduire l’errance diagnostique subie par les femmes atteintes par cette maladie chronique. Ainsi, grâce au prélèvement salivaire, le diagnostic pourrait se faire en quelques jours.