Plutôt que de toxicité cardiovasculaire, les spécialistes préfèrent parler de l’impact cardiovasculaire des antidiabétiques. Car à ce jour, aucune alerte concernant l’augmentation de ce risque avec les inhibiteurs des DPP-4 ou les agonistes des récepteurs aux GLP-1 ne ressort des données cliniques ou pré-cliniques. De façon globale, les incrétines s’avèrent même plutôt protectrices sur le plan cardiovasculaire. Les études d’évènement sont très attendues, pas avant deux à quatre ans, car les méta-analyses disponibles souffrent de nombreuses limites qui incitent à la prudence.Réservé aux abonnés
La tendance cardioprotectrice des incrétines… à l’épreuve des essais d’évènements
Par Hélène Bertoldo, journaliste scientifique, Paris|2015-06-01T12:18:56+01:0016 septembre 2012|Articles, Cardiologie|0 Commentaire
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